Les guides et ouvrages de références sur le manga

[Cyril]

[Shampoo]

[Manuka]

[Flore]

[sushikouli]

[EdenA]

Oh, je me souvenais pas de ça pour FMA : ils sont connectés, Alphonse ne puise pas juste son énergie dans le sceau de sang apposé sur l'armure ? Edward doit manger pour deux ?

[Cyril]

Il mange tout le temps, Edward ? Alors que Luffy et Goku ont des scènes assez énormes (Luffy qui a appris une technique pour manger en dormant), je ne me souviens pas particulièrement de scènes où il se goinfrerait ; et je viens de feuilleter rapidement quelques volumes de FMA : je n'ai rien trouvé de spécial non plus. Par exemple, au tout début du tome 1, on le voit manger mais il n'a qu'une assiette normale. Dans le tome 4, il est à l'hôpital, a aussi une assiette normale et ne se plaint que de la présence de lait, et pas du manque de nourriture.

Tu as des exemples précis ? Parce qu'en l'état, je ne vois pas Ed se comporter comme un morfal au même titre que Son Goku et Luffy et la bouffe ne me semble pas être une préoccupation majeure - là où Luffy ne pense à peu près qu'à ça (et à devenir le seigneur des pirates, certes), comme le montre sa première pensée quand Doflamingo lui suggère qu'il détient un trésor qui pourrait l'intéresser.

[Bobo]

[SPOILERS]

En fait, il mange relativement normalement, et c'est entre autre pour cela que le corps d'Alphonse est tout maigre. Ed en parle avec Al et Winry à partir du moment où il réussit à retourner à la Porte. (J'ai pas les tomes sous la main, donc je ne peux pas vérifier exactement, mais en gros, c'est ça l'idée.)

[Sever]

quelqu'un a t'il lu Manga - Histoire et univers de la bande dessinée japonaise de Jean-Marie Bouissou ?

[herbv]

Je n'ai pas encore pris le temps de le lire soigneusement, je l'ai juste parcouru. Il me semble plutôt bien fait et on retrouve parfois les marottes de Jean-Marie Buissou. Disons que le principal reproche qu'on pourrait faire à l'ouvrage est qu'il pourrait tisser quelques généralités à partir de cas emblématiques allant dans le sens de la démarche de l'auteur.

Après, je le répète, je n'ai pas réellement lu le livre et mon avis est certainement trop hâtif. Cependant, je pense que tu peux l'acheter (conseil que je ne donnerai pas pour le bouquin qu'a commis Karine Poupée, par exemple, que je considère trop mauvais formellement, ce qui décrédibilise le propos).

Après, je ne sais pas ce que tu recherches exactement dans un ouvrage sur le manga...
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair

[Sever]

j'étais en repérage à Cultura pour les fêtes de fin d'année, et j'ai été surpris de voir une pile de cet ouvrage version poche posée juste à côté du dernier Fairy tail.
Visuellement, c'est déjà un gros pavé, le sommaire me parait assez complet.

Lisant des mangas depuis le début des années 90, amateur du feu virus manga, des HS animeland 5&10 (petit monde de la japanim), je me disais que cela pourrait être intéressant si c'était neutre dans le traitement (pas de diabolisation ou dâ??idéalisation), peut-être pas pour apprendre des choses (bien que) mais plus pour pousser à la réflexion.

Je ne connais pas l'auteur, mais dâ??après sa bio Wiki, c'est un universitaire ayant vécu au Japon. Je ne vois pas de "contacts" avec le monde de l'édition manga en France. Donc je suppose que c'est plus un ouvrage sur le manga, les Å?uvres, le marché japonais, mais pas sur le marché français.

[Flore]

[XaV]

C'est un ouvrage correct, mais pas essentiel. Disons que l'auteur se dédouane habilement au début en expliquant qu'il est avant tout un fan, et que donc il écrit à l'aune de ce qu'il connaît. Donc on a un ouvrage plutôt agréable, mais qui souffre des mêmes tropismes que la plupart des ouvrages sur le sujet (position centrale de Tezuka, impasse quasi totale sur le pan alternatif, fort biais vers les succès traduits en français). Le travers le plus énervant, pour un connaisseur, est finalement de voir érigés comme références des titres qui n'ont pas grand'chose d'historique. Le seul qui me vienne ce soir étant GTO, présenté plus ou moins comme summum de la critique sociale. GTO présente effectivement cet aspect, mais il est loin d'être le seul ou le plus central au sein de la production japonaise.

[Sever]

merci des retours

[Flore]