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Yawara : Judo Girl,tu attaques, Judo Girl !
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Tuc
Mangaversien·ne


Inscrit le : 30 Juil 2006

Message Posté le : 08/12/20 10:20    Sujet du message: Répondre en citant

C'est vrai que l'on retrouve bien ça dans Yawara, ce côté des adultes décidant pour elle (son grand père, le directeur de l'école), après heureusement c'est contre balancé par le journaliste qui respecte plutôt ses choix même s'il trouve que c'est du gâchis et qu'il le dit

Après c'est une question morale et éthique intéressante, doit on laisser quelqu'un gâcher son potentiel, sachant que la pousser dans cette voie peut être un échec (tout comme ton exemple d'études de médecine)... je ne dis pas que j'ai la réponse ^^

Ah oui mention spéciale pour la mère, qui est aux abonnés absent pour sa fille parce qu'elle parcours le Japon à la recherche du mari disparu qui semble s'entraîner quelque part, en fait quand on voit les exemples dissolus autour d'elle on peut comprendre sa volonté d'une vie bien rangée vu que le judo semble avoir tout détruit (sa mère trouve ça par contre formidable ce sport qui fait que ni elle ni son mari n'élève sa fille et la laisse à un grand père complètement fou)

On voit un peu les prémices de Happy dans Yawara, mais clairement si j'avais commencé du Urasawa sur cette série je ne sais pas si j'aurais continué, chapeau aux éditeurs pour avoir repéré son talent là-dedans parce que pour l'instant il ne ressort pas des masses (évidemment la question est aussi de savoir si en le lisant à sa sorti on aurait eu la même lecture, probablement que non)
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 08/12/20 11:02    Sujet du message: Répondre en citant

Tuc a écrit:
chapeau aux éditeurs pour avoir repéré son talent là-dedans parce que pour l'instant il ne ressort pas des masses

�a a cartonné, surtout. Et ce n'est pas dissonant par rapport à d'autres manga de la même époque (à peine moins sexiste que n'importe quel Adachi).
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- Et si je n'ai pas aimé ?
- Ça correspond à bon !
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 20/02/21 07:09    Sujet du message: Répondre en citant

La série continue de monter en puissance avec ce tome 3 qui, de plus en plus et sans que l'aspect "comédie" ne soit absent, devient de plus en plus un manga sportif.

On suit en effet 2 tournois en simultané dans la première partie de ce volume : celui de Yawara qui va notamment l'opposer à ses deux rivales (je suis quand même étonné par le fait qu'il y ait une seule compétition pour des judokates de poids aussi différentes que Yawara et Sayaka d'une part, Yuki de l'autre) et celle de ses élèves du club de judo du lycée. La première crée du suspens, dans les matchs (ou du moins dans un d'entre eux) et en dehors puisque je me suis souvent demandé jusqu'à quel stade du tournoi (qui ne la motive guère, au-delà du fait d'attirer l'attention du beau Kazamatsuri) Yawara allait arriver sans abandonner. La seconde compétition est moins intéressante à la base (et ça me frustrait quand on s'écartait du tournoi de Yawara pour le suivre) mais on s'attache au final à cette petite bande de personnages, pas très futés ou doués pour le judo à la base mais dévoués à l'héroïne et qui progressent, même s'ils ne seront jamais au niveau des meilleurs.

Le manga évolue aussi de façon classique, avec une Yawara qui attire l'attention du monde entier et donc de nouvelles rivales. Celle qui apparaît en fin de volume se révèle très attachante et contribue aussi à faire évoluer l'héroïne (même si elle pose un problème identique à celui de Yuki). Enfin, l'humour est toujours présent et efficace, avec les manigances et les vantardises du grand-père. J'ai donc pris beaucoup de plaisir à la lecture de ce volume.
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Les chats, ils dépensent leur pognon au baby-foot, ils passent leur temps à fumer des pétards et à grimper au plafond. Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chats.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 05/03/21 17:37    Sujet du message: Répondre en citant

Avec ce tome 3, la série semble prendre son rythme de croisière. En particulier dans sa dernière partie, qui confronte notre héroïne à un nouveau personnage ; leur relation fonctionne à merveille, il me tarde de voir ce qu'il adviendra par la suite. Le judo est aussi plus présent, même si clairement, la victoire (ou non) de Yawara n'est pas encore au centre des préoccupations, son niveau étant stratosphérique. L'auteur crée donc des enjeux de manière un peu artificielle, en perturbant la concentration de son héroïne ou en lui mettant des bâtons dans les roues ; autrement, ce serait trop facile. Nous nous croirions dans Glass no Kamen Mort de rire Malheureusement, c'est aussi un peu frustrant...

Mine de rien, Yawara a fait énormément de concessions depuis le début de la série, et son entourage se moque toujours autant de ses désirs. C'est elle qui se prend de passion pour son sport, donnant ainsi raison à son grand-père. Ce que je trouve malheureux. Et je doute qu'elle aille dans l'université de son choix, car d'une façon ou d'une autre, son évolution suivra celle qui permettra d'en faire la championne promise. Nous ne pouvons pourtant pas dire qu'elle soit passive ; c'est simplement Naoki Urasawa qui s'arrange pour que la tournure des événements bénéficie plus à sa famille et ses admirateurs qu'à elle-même.

Reste qu'en matière de rythme, ce manga fonctionne à merveille. Je ne pouvais pas m'empêcher de tourner les pages, de lire chapitre après chapitre. Il est peut-être là le secret de Yawara : dans une construction, une énergie, qui donne envie de progresser toujours plus dans sa lecture.
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Tuc
Mangaversien·ne


Inscrit le : 30 Juil 2006

Message Posté le : 14/03/21 16:36    Sujet du message: Répondre en citant

En fait Yawara c'est Saitama ^^ Sérieux à la lecture de son tournoi je n'arrêtais pas de me dire que One n'avait rien inventé avec son personnage hyper fort et tellement loin du niveau des autres. ça en devient ridicule de la voir gagner tous ses matchs en 2 secondes
Du coup, comme son tournoi à elle n'a aucun suspens, le suspens est ailleurs, et je trouve bien trouvé de le faire porter par ceux qu'elle entraîne, et c'est finalement ça j'ai l'impression qui va la faire rester dans le judo, c'est le fait de transmettre

Sinon je suis toujours aussi gêné par le fait que son entourage choisisse pour elle, même si elle finit quand même par se prendre au jeu.
Le tome se lit très bien, et on nous présente enfin quelques antagonistes de valeur puisqu'autour d'elle très clairement il n'y a rien (enfin sauf si son père vient effectivement en entraîner un)
Sinon pour la question des catégories, si habituellement il y a des catégories de poids, il existe des tournois toute catégorie, mais ça aurait été intéressant de le signaler pour un peu de réalisme (surtout qu'on ne peut pas dire que le judo soit inconnu au Japon !)

J'ai quand même du mal à voir comment la série va durer
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 24/04/21 06:02    Sujet du message: Répondre en citant

Ce tome 4 de Yawara est peut-être le plus désagréable à lire, tant le personnage du grand-père se montre antipathique et manipulateur, notamment lors de l'examen d'entrée pour l'université dans laquelle elle souhaite aller. En tant que lecteur, j'ai certes envie de voir Yawara participer à des compétitions de judo et les gagner - avec plus de difficultés qu'elle n'e a connues jusqu'à présent. Mais j'ai aussi envie de la voir vivre ses rêves propres et envoyer balader son grand-père. J'ai un peu une impression similaire à celle de Ranma 1/2, avec des personnages qui disent ce qu'ils veulent, critiquent les parents qui veulent leur imposer leurs volontés mais au final ne se révoltent pas réellement quand ceux-ci n'en tiennent aucun compte.

Un autre point intéressant est l'arrivée d'un nouveau personnage, Kuni, une photographe qui va coller Matsuda - ce que Yawara n'apprécie guère. Manipulatrice et décidée, elle aussi, ce personnage apparaît pour l'instant, plus que Sayaka, comme le prototype de Choko dans Happy et en fera probablement voir de toutes les couleurs à Yawara.
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sushikouli
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Inscrit le : 29 Oct 2003

Message Posté le : 24/04/21 10:34    Sujet du message: Répondre en citant

Cyril a écrit:
Mais j'ai aussi envie de la voir vivre ses rêves propres et envoyer balader son grand-père. J'ai un peu une impression similaire à celle de Ranma 1/2, avec des personnages qui disent ce qu'ils veulent, critiquent les parents qui veulent leur imposer leurs volontés mais au final ne se révoltent pas réellement quand ceux-ci n'en tiennent aucun compte.

Bienvenue dans les années 80 !
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Entre ce que je pense, je veux dire, je crois dire, je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins 9 raisons de ne pas se comprendre.
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Cyril
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Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 24/04/21 11:59    Sujet du message: Répondre en citant

Ca me soulait déjà dans les années 80/90 : j'avais l'impression, notamment chez Rumiko Takahashi, de voir des personnages de l'époque de Molière, que ce soit les parents ou grand-parents qui voulaient imposer leurs choix ou les enfants qui n'osaient pas les envoyer paître.
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sushikouli
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Inscrit le : 29 Oct 2003

Message Posté le : 24/04/21 12:39    Sujet du message: Répondre en citant

Ben... La société était comme ça... Moi, je trouve ça bien de se rappeler ponctuellement d'où on vient, à quoi on a échappé, à quel point nous sommes privilégiés...
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Cyril
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Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 24/04/21 13:02    Sujet du message: Répondre en citant

Possible ; je ne connaissais pas assez la société japonaise à l'époque où les dessins animés étaient diffusés. Mais ça m'énervait déjà, par comparaison avec la société française où ça me semblait inimaginable mais aussi par rapport à d'autres dessins animés shojos/comédies romantiques où les ados vivaient leurs vies sans que les parents ne se mêlent des choix amoureux de leurs enfants : Creamy, Orange road, Mes tendres années, Vas-y, Julie...

Dans Yawara, le comportement intrusif du grand-père concerne davantage les choix professionnels (même s'il a aussi des conséquences sur le plan amoureux) ; mais sa logique est la même.
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sushikouli
Mangaversien·ne


Inscrit le : 29 Oct 2003

Message Posté le : 24/04/21 13:14    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'ai pas le sentiment que la France s'en tirait mieux à l'époque...
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sushikouli
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Inscrit le : 29 Oct 2003

Message Posté le : 26/04/21 20:25    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens enfin de commencer Yawara ce WE. Quel plaisir de retrouver le style inimitable du U-Jin des années 80...

Maléfique Maléfique

Ouais, j'étais resté sur le pompage éhonté de Kimagure Orange Road et du style d'Adachi, mais Urasawa n'était pas en reste ^0^;;

Je partage globalement vos avis sur le fait que c'est moins bon que Happy!!, et je me dis que Kana a peut-être eu tort de céder aux fans sur ce coup... Pas pour la mentalité 80's, mais parce que le contenu est vraiment trop gentillet... On sent que c'est sa première série comique et il est à mon sens largement plus drôle sur Happy!! (qui pourtant avait des défauts, surtout au début).

Par contre, j'ai vraiment du mal à comprendre comment vous pouvez analyser ce titre au premier degré, tant tout est appuyé, entouré, souligné, déformé, exagéré... et répété. On est clairement dans la caricature, y compris sur "les rêves de Yawara qui veut devenir une parfaite petite ménagère" qu'avec le grand-père.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 17/05/21 08:30    Sujet du message: Répondre en citant

Yawara T4 : Je m'attendais à ce que la série prenne une nouvelle direction, dans la mesure où l'héroïne commence à prendre plaisir à pratiquer le judo et s'est liée d'amitié avec Jody. Malheureusement, ce tome retrouve ses vieux travers, et se permet même d'en rajouter une couche avec l'exécrable Kuni, qui ne semble là que pour compliquer la relation entre Matsuda et Yawara (alors qu'elle n'en avait clairement pas besoin). Le grand-père réussit à se montrer encore pire qu'auparavant, en faisant une grosse saloperie à sa petite fille.

Comme Cyril, j'aimerais voir Yawara concourir, mais je préférerais la voir s'épanouir et suivre sa voie. Naoki Urasawa semble avoir décidé que ce n'était pas compatible, et qu'à la fin, elle s'apercevra que son grand-père avait raison depuis le début.
Cela me rappelle Haikara-san ga Tooru : Benio se considère comme moderne (pour l'ère Taisho) et veut être libre de ses choix, mais tombe justement amoureuse du garçon avec lequel ses parents l'ont fiancée de force, faisant qu'elle n'a pas à s'opposer à ces-derniers pour trouver son bonheur.
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Judge Fredd
Mangaversien·ne


Inscrit le : 02 Sept 2002

Message Posté le : 17/05/21 09:26    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne comprends pas bien vos avis.
Le grand-père est un personnage comique et pathétique dont l'attitude n'est jamais valorisée. Elle est même largement ridiculisée.
Quant à Yawara, dans ce tome, elle s'affirme sans ambiguité pour la première fois et envoie fermement promener son grand-père. Elle l'humilie même publiquement devant les responsables de l'université où il avait projeté de l'inscrire.
Pour ce qui est de réaliser ses propres rêves, je pense que se poser la question de savoir si le grand-père aura raison ou pas à la fin n'est pas la bonne question, la question est de savoir si, pour elle-même et par elle-même, Yawara va décider de faire carrière dans le judo. Je pense Urasawa assez subtil pour amener son personnage peu à peu à cette prise de conscience.
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Gemini_
Mangaversien·ne


Inscrit le : 03 Fév 2011

Message Posté le : 17/05/21 10:00    Sujet du message: Répondre en citant

Que le comportement du grand-père ne soit pas valorisé, c'est une chose. Mais jusqu'à présent, c'est quand même bien lui qui mène la danse (sans être condamné pour autant). Et, sachant que Yawara est connue comme un manga sur une judoka, cela montre qu'il arrive (au moins en partie) à ses fins.

Si je cite Haikara-san ga Tooru, c'est car cette série crée une adéquation entre les désirs de son héroïne, et ce que son entourage attend d'elle. Une solution de facilité, puisqu'elle n'a pas à choisir entre un mariage forcé sans amour, ou rejeter sa famille et son statut social. Yawara semble se diriger dans la même direction, avec une héroïne participant à des compétitions - donc suivant la voie tracée par son grand-père - tout en expliquant que cela correspond effectivement à ce qu'elle désire.
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