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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 25/02/23 08:07    Sujet du message: Répondre en citant



Une romance lycéenne assez classique mais avec un petit quelque chose en plus - qui est lié au point d'interrogation du titre. Kusakabe, le petit ami trop parfait (?) est en effet le classique beau gosse, super intelligent et pour lequel toutes les filles craquant - avant de finir par rompre parce qu'il se montre très possessif, se méfiant des proches de sa petite amie, cherchant à l'éloigner d'eux et la surveillant.
L'auteur montre clairement ce comportement comme problématique - mais, comme dans Mon ex, reste un peu à la surface des choses à mon sens. Le comportement du personnage évolue d'ailleurs, et il se limite ensuite plus à envoyer des fions aux amis d'Iroha ; mais on a l'impression d'être à quelque chose à mi-chemin entre un traitement réfléchi et une aseptisation trop facile. C'est un peu la même chose avec le classique parent connard (ici, la mère de Kusakabe) qui veut régenter la vie amoureuse et les études de son fils.

A côté de cela, le manga reste agréable à lire. S'il critique le comportement de Kusakabe, celui-ci sait aussi se montrer sensible et prévenant envers sa petite amie, et il n'est pas du genre à insister lourdement pour des relations sexuelles ou, avec ses ex, quand il est plaqué. C'est d'ailleurs plutôt Iroha qui prend des initiatives dans ce domaine et, quand ils finissent par "consommer" au dernier volume (parce que, bien évidemment, il y a toujours des péripéties qui les en empêchent tout au long du manga), il se montre extrêmement prévenant, parfois trop même aux yeux de la jeune fille - ce qui m'a rappelé la première fois de Sheldon et d'Amy dans The big bang theory. En ce sens-là, on finit par avoir un shojo manga classique, plutôt bien fait et agréable à lire, même s'il n'exploite pas pleinement l'originalité de son postulat de départ - mais on aurait pu avoir alors quelque chose de plus glauque qui ne m'aurait probablement pas plu.
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Les chats, ils dépensent leur pognon au baby-foot, ils passent leur temps à fumer des pétards et à grimper au plafond. Les chats, c'est vraiment des branleurs. C'était un message du CCC, le Comité Contre les Chats.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 25/02/23 16:39    Sujet du message: Répondre en citant



Un pack de 2 mangas vendus ensemble par Blackbox - il faut dire que, sans le premier, personne n'aurait acheté le second vu que Denjiman n'a jamais été diffusé en France.


Le manga de Bioman adapte globalement la série. De façon très simplifiée puisque de nombreux personnages sont absents, comme les 3 généraux du Docteur Man ou les simples soldats (les 5 bêtes sont en revanche bien là, même si l'une d'entre elles se fait éliminer assez vite).
Les histoires sont elles aussi très simplifiées. Il faut dire que chaque chapitre fait une quinzaine de pages et que Yûji Hosoi, le dessinateur, aime bien les grandes cases. Il n'y a donc guère de pages pour le développement des personnages - les 5 héros ne sont même pas introduits, ils sont juste déjà là, ni même pour certains moments iconiques : pas de transformations (ni les poses qui vont avec), pas non plus d'assemblage pour le robot, qui arrivé entier. Les combats mettent surtout en avant les robots géants, bien plus que les combats au sol qui sont très négligés
Il n'y a guère d'intrigue d'ensemble autre que le combat contre l'empire Gear avec, sur la fin, l'arrivée de Silva. On retrouve aussi certains des moments les plus connus, comme la mort de Force jaune ou le power-up du biorobot, même s'ils se passent de façon différente par rapport à la série. Le plus bizarre reste quand même que le volume s'arrête juste avant ce qui aurait dû être le dernier épisode. Ca n'est pas vraiment frustrant parce que je connais la fin de la série ; mais c'est quand même étrange d'avoir arrêté à ce moment-là.


Denjiman a les mêmes dessinateur et scénariste : donc beaucoup de similitudes mais aussi quelques différences notables. D'abord, les héros sont (un peu) moins rudimentaires, avec une introduction au moins pour le denjiman rouge et certains chapitres qui permettent des développements, comme celui dans lequel le denjiman vert doit affronter sa peur. Contrairement à Bioman, les combats se font sans robot géant, du moins du côté des héros - les méchants en ont parfois un - alors que la générique de la série montre qu'ils devaient normalement bien en avoir un.
Plus que dans Bioman, dans lequel les méchants revenaient régulièrement, on a ici le schéma du monstre de la semaine avec son plan foireux (envoyer des insectes explosifs, balancer un superpétrolier sur des villes japonaises...). Les combats sont souvent trop vite expédiés, hormis pour le dernier chapitre qui oppose les denjimen au général Hedrer, le second de la chef des méchants - ici, des envahisseurs venus de l'espace qui veulent détruire les plus belles planètes de l'univers, à commencer bien sûr par la Terre et qui forment le clan Vader (aucun lien de parenté mais peut-être une inspiration, la série datant de 1980). Il leur donne du fil à retordre et les oblige à utiliser une nouvelle technique assez spectaculaire pour le vaincre - en revanche, à la fin du volume, la reine Hedrian reste en place.


Bon, on va dire que la lecture n'était pas trop désagréable malgré beaucoup de kitsch, la nostalgie et quelques passages sympathiques aidant. Blackbox a aussi fait une bonne édition, malgré quelques coquilles, en ajoutant à chaque volume des interviews et des élements de contexte pertinents.
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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 26/02/23 02:56    Sujet du message: Répondre en citant

Takopi coffret intégral :

sujet traité de manière original, un peu brouillon par moment, une fin facile mais bonne leçon de vie.. One shot sans intérêt. Côté édition c'est pas top. La couverture est très fine et fini gondolée, encre qui bave.

Que reste t il de nos rêves tome 1 et 2 :

Belle surprise, là aussi le sujet est traité de manière original, chaque chapitre marque un moment de sa vie. Ça fait plaisir de lire un bon josei.
Côté édition c'est pas mal. Format moyen mais jaquette presente malgré tout, bon papier, bonne impression pour un prix très accessible de 9.80
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herbv
Modérateur


Inscrit le : 28 Août 2002
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Message Posté le : 26/02/23 09:08    Sujet du message: Remarque Répondre en citant

Content que tu ais apprécié Que reste t il de nos rêves ? Shun.

Ta remarque sur l'édition est intéressante car je pense tout le contraire : pour moi, elle est très mauvaise entre lettrage atroce, mauvais choix de papier et surtout impression numérique qui donne un très mauvais rendu, surtout des trames.

Par contre, je n'ai pas souvenir d'une jaquette (ce qui est tant mieux, je déteste les jaquettes).
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Simple fan (auto-proclamé) de Rumiko Takahashi
Chroniqueur à du9
Ténia de Bulledair
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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 26/02/23 10:51    Sujet du message: Répondre en citant

Après ton message je viens de regarder et je ne vois rien qui me choque, mais je ne suis pas du métier. Seul le papier est un peu transparent.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 26/02/23 16:09    Sujet du message: Répondre en citant



Un manga en 2 tomes de Tôkichi Ishiyama. Comme on s'en doute un peu en voyant les couvertures, celui-ci est un ancien assistant de Kurumada, et ça se voit dans le style de dessin comme dans celui de l'histoire. On y suit Saito Bôi, ex-membre d'une organisation maléfique qui veut... conquérir le monde



et qui s'appelle la forteresse de sable (pas sûr que le nom soit très bien choisi). Elle est dirigée en théorie par un homme mystérieux qu'on ne verra qu'une fois et en pratique par la docteur Himiko, un sosie de Saori, avec une attitude similaire à celle que cette dernière avait dans la première partie de Saint Seiya. Quant à Saito, c'est un enfant surdoué entraîné à la dure par une mystérieuse organisation et qui va la quitter pour rechercher sa soeur. Trahie, l'organisation va lui envoyer régulièrement des sbires soit pour le tuer, soit pour le rendre plus fort et le pousser à rejoindre l'organisation, le héros possédant une mystérieuse énergie appelée l'esprit combatif violet qui devrait lui permettre de devenir le guerrier divin.

Outre du Saint Seiya, on a aussi du Hokuto no Ken dans ce titre avec certains adversaires grotesques et d'autres qui deviendront des alliés du héros ou, vaincus, finiront par être dans le coeur de Saito et contribueront ainsi à le rendre plus fort. Des deux oeuvres citées, on retrouve aussi un certain machisme, Saito refusant de frapper les femmes - mais le faisant quand même lorsqu'il est en danger, ce n'est pas Sanji...


Le manga se laisse lire plutôt agréablement, en partie à cause de son côté nanardesque amusant. Certains combats sont bien disputés et permettent d'assister à des attaques et techniques assez variées avec quelques moments touhants, d'autres sont en revanche expédiés trop rapidement, en particulier vers la fin pour laquelle on sent qu'Ishiyama a été obligé d'abréger. Elle a cependant au moins le mérite d'exister et d'apporter des réponses sur à peu près tous les sujets.
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 05/03/23 06:33    Sujet du message: Répondre en citant




Urashiman, alias Super Durand en VF (pas dans le manga), avait été diffusé de façon partielle sous son format de série animée dans les années 820. J'en gardais le souvenir d'une série sympathique, mêlant humour, SF, manga policier et combat ; mais rien de très précis en dehors du générique, la série n'ayant guère été rediffusée. Le manga permet de la redécouvrir.


Le manga commence par une scène de poursuite, un jeune homme étant pourchassé par un policier qui l'accuse d'un délit qu'il nie avoir commis. Il se retrouve soudain propulsé dans le futur. Après quelques péripéties, il y intègre la police au côté de Claude, un enquêteur play-boy et de Sophia, pour laquelle il a le béguin. Ils devront faire face à une organisation criminelle appelée Nécrime, dirigée par un Fuhrer qui n'apparaît guère et, en pratique par Ludwig et Mylène et qui s'intéresse à notre héros (surnommé Ryo Urashiman en référence au célèbre mythe japonais) soupçonné d'avoir acquis des pouvoirs lors de son voyage dans le temps.

La série ne comporte pas de fil conducteur très marqué, même s'il y a une conclusion (un peu rapide). Il y a cependant une rupture de ton et de dessin assez étrange au début du tome 3 : l'humour bouffon y prend plus de place et le design d'Urashiman change. Ca m'a donné l'impression que le manga cessait d'être indépendant et devenait un produit dérivé de l'animé, dont il reprenait d'ailleurs certaines caractéristiques comme l'amure ou le véhicule. Il maîtrise aussi pleinement ses pouvoirs alors que ce n'était pas le cas vers la fin du tome 2. Ca n'est pas mauvais mais c'est quand même bizarre.

Au-delà de ça, le manga est très sympathique, avec un humour efficace très typé année 80, quelques passages grivois et plans culotte et une ambiance qui fait pas mal penser à Cobra avec son héros obsédé et très fort et l'organisation criminelle qu'il doit combattre. Certaines histoires, du moins dans les deux premiers tomes, offrent des moments assez durs, voire tragiques comme dans l'histoire du tome 2, Mark V, génocide, dans laquelle une mystérieuse jeune femme est poursuivie par Nécrime qui n'hésite pas à faire exploser un immeuble d'habitations pour la retrouver. Si les enjeux ne sont plus les mêmes dans la seconde partie du manga, celle-ci garde ses personnages attachants et provoque quelques situations WTF amusantes. Cela fait donc de ce manga une lecture agréable, même si la rupture de ton au milieu de la série désarçonne quelque peu.
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shun
Mangaversien·ne


Inscrit le : 01 Sept 2002
Localisation : charleroi la ville noir

Message Posté le : 11/03/23 02:23    Sujet du message: Répondre en citant

Stigmata 1 et 2



Voilà une lecture qui m'a perturbé.
Au départ j'ai été décontenancé par le dessin, puis l'originalité du scénario m'a intrigué, par la suite la relation évoluant je me questionnait sur l'identité sexuel du mari et j'imaginais parfaitement ce genre de récit avec une relation hétéro, le perso étant trop efféminé à mon goûts.
Mais l'ambiance qui se dégage m'a happé, on dirait un shojo des années 70' 80' avec un vrai côté vintage sur certaines planches.







Le dernier chapitre m'a réconcilié avec la relation des protagonistes.
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Tuc
Mangaversien·ne


Inscrit le : 30 Juil 2006

Message Posté le : 04/04/23 10:36    Sujet du message: Répondre en citant

Bokko Stratège tome 1 (sur 8 )

J'ai tenté cette sortie chez Véga qui est donc apparemment une réédition d'une série d'abord éditée sous le titre Stratège, d'où le fait d'avoir gardé ce nom pour ne pas perdre ce qui connaissait
Quand je l'ai pris, mon libraire en a été tout excité car il avait apparemment beaucoup apprécié cette série même si à l'époque elle n'avait pas suffisamment trouvé son public pour être terminé.

L'histoire se situe dans la Chine antique, à une époque de guerre de clans, ou un fort se retrouve assiégé par une grande armée et demande de l'aide à des maîtres stratèges. Ceux-ci n'enverront qu'un homme, Ke-Ri, mais il montrera qu'une bonne stratégie est plus efficace qu'une armée en grand nombre (surtout pour défendre un fort)

Les dessins sont corrects, surtout si on resitue bien cette parution dans le début des années 1990, et l'histoire est rapidement prenante. Les stratagèmes sont réalistes, intelligents, et on est vite pris dans l'histoire à savoir comment Ke-Ri va faire pour ce sortir de l'apparente impasse dans laquelle il est. J'ai hâte de lire la suite

PPPPPP tome 1 (sur 8 aussi)

Shonen musical pour le coup très différent, édité par Nobi Nobi. On suit Lucky, un des sextuplés Otogami, plus grand compositeur de son temps qui a écarté ce dernier de sa famille le considérant sans talent (allant jusqu'à considérer n'avoir que des sixtuplés), entraînant une rupture avec sa femme, qui est par ailleurs malade et va mourir dans un an. Ce dernier va finalement se plonger corps et âme dans la musique malgré l'avis de son père afin de se confronter à lui, et donc en passant à ses frères et sœurs

J'ai voulu tenté cette série bien mise en valeur par une de mes libraires, et à la lecture si j'ai bien aimé, je dois avouer trop sentir où l'intrigue va aller. Le père de Lucky a en effet la mauvaise manie de faire abandonner les personnes qu'il considère mauvais musicien, et ce dernier dès l'enfance aurait catalogué un de ses fils comme mauvais et écarté ? Mais bien sur, c'est trop gros pour être vrai, et comme on voit rapidement qu'il a une capacité effarante à matérialiser sa musique (oui c'est ainsi que l'on voit les grands musiciens dans ce monde, tout comme dans les gouttes de dieu un bon vin te transporte dans un autre monde, ici une bonne musique prend forme), on sent rapidement à la fin du tome qu'il a en fait écarté son plus grand rival
A voir si finalement la lecture me réservera une surprise scénaristique, il n'en reste pas moins que la lecture est agréable, les dessins sont un peu moins que correct, sauf dans les scènes de musique où l'onirisme est bien rendu
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Collection BDovore et Carré Magique
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Corti
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Inscrit le : 31 Mai 2006
Localisation : Sous la pluie... C'est pas dur de trouver où.

Message Posté le : 04/04/23 18:01    Sujet du message: Répondre en citant

Pour Stratège, ça avait été fini à l'époque.

J'ai beaucoup aimé PPPPPP. Je trouve que le dessin change de ce qui se fait habituellement, et l'histoire est... Particulière ? Je ne sais pas trop comment la ranger en fait.
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(ou pas ?)
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chopper
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Inscrit le : 24 Oct 2003
Localisation : SQY

Message Posté le : 04/04/23 20:44    Sujet du message: Répondre en citant

Je confirme stratege a bien été édité dans son intégralité en 11 tome par tonkam
Un manga que j'aime relire regulierement
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KRINEIN : La culture avec un K

http://manga-anime.krinein.com
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Tuc
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Inscrit le : 30 Juil 2006

Message Posté le : 05/04/23 12:00    Sujet du message: Répondre en citant

autant pour moi j'ai du mal comprendre

Pour PPPPPP, même si j'ai dit que le dessin était moins que correct, il reste adapté à l'histoire, et les personnages restent bien travaillés. Je ne l'ai pas dit par exemple mais les sextuplés ont tous une coiffure spécifique (même si pour le héros ça semble plus une absence de coiffure) qui les différencient. C'est juste que les dessins sont un peu trop simplifiés sur certains passages, mais ça ne gène pas

Pour le classer par contre c'est facile, ça reste un shonen sportif tout ce qu'il y a de plus classique, on met de la musique à la place du football ou du basket et tout y est
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Cyril
Mangaversien·ne


Inscrit le : 04 Sept 2002
Localisation : Evry

Message Posté le : 13/04/23 05:43    Sujet du message: Répondre en citant

Tuc a écrit:
Bokko Stratège tome 1 (sur 8 )

J'ai tenté cette sortie chez Véga qui est donc apparemment une réédition d'une série d'abord éditée sous le titre Stratège, d'où le fait d'avoir gardé ce nom pour ne pas perdre ce qui connaissait
Quand je l'ai pris, mon libraire en a été tout excité car il avait apparemment beaucoup apprécié cette série même si à l'époque elle n'avait pas suffisamment trouvé son public pour être terminé.

L'histoire se situe dans la Chine antique, à une époque de guerre de clans, ou un fort se retrouve assiégé par une grande armée et demande de l'aide à des maîtres stratèges. Ceux-ci n'enverront qu'un homme, Ke-Ri, mais il montrera qu'une bonne stratégie est plus efficace qu'une armée en grand nombre (surtout pour défendre un fort)

Les dessins sont corrects, surtout si on resitue bien cette parution dans le début des années 1990, et l'histoire est rapidement prenante. Les stratagèmes sont réalistes, intelligents, et on est vite pris dans l'histoire à savoir comment Ke-Ri va faire pour ce sortir de l'apparente impasse dans laquelle il est. J'ai hâte de lire la suite


Je n'ai pas accroché à ce premier tome, probablement en raison de la comparaison avec un Kingdom (dont l'action se déroule quelques décennies après) plus épique et plus ambitieux. Pour le moment, l'action ne se déroule que dans une petite ville avec des effectifs limités et, même si les réactions de la population sont intéressantes (mais là aussi, je préfère la version de Kingdom lors du siège de la ville de Saï) et s'il y a quelques mystères sur les origines de Ke-Ri et sur ses liens avec son groupe d'origine, ça ne suffit pas à me passionner.
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Cyril
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Inscrit le : 04 Sept 2002
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Message Posté le : 20/04/23 05:07    Sujet du message: Répondre en citant



Un manga de type comédie romantique qui repose, comme l'indique son titre, sur l'imagination de ses personnages. C'est original : on voit dans le premier chapitre 2 étudiants également amis d'enfance, Mai et Tasuku, qui se promènent ; Mai s'amusa à se tenir en équilibre sur le rebord du trottoir et tous deux s'amusent à imaginer ce qui se passerait si elle tombait : serait-ce dans la mer, dans un volcan ou dans une forêts de pics acérés ? Les dessins nous font voir ces décors imaginaires en mettant Mai au coeur de ces situations imaginaires.

L'aspect comédie romantique est assez classique, mettant en scène 2 personnages qui se tournent autour sans vraiment oser s'avouer leurs sentiments. Ca va assez lentement, à la demande de l'éditeur, comme l'indique l'auteur dans la postface, et ça fonctionne assez bien avec ces deux personnages attachants. Je trouve cependant dommage que, au moins dans ce premier tome, le manga ne s'attarde pas assez sur ses deux personnages principaux et mettent beaucoup l'accent sur les amies de l'héroïne - la couverture est assez parlante, et c'est d'ailleurs elle qui m'a donné envie de lire ce manga ; elle me faisait beaucoup penser à celle du recueil d'histoires courtes de Jun Mayuzuki. Cela offre pas mal de moments amusants mais se fait un peu au détriment de Tasuku, qui a finalement assez peu de scènes.

J'aime bien la façon dont est construite la relation entre les deux personnages principaux : un peu de timidité, des doutes sur le fait d'aller plus loin et sur certaines occasions ratées, des taquineries, de la confiance... Ce mélange les rend attachants et les dessins de Niiro Ikuhana leur correspondent bien. Les personnages imaginent toujours régulièrement ce qui pourrait arriver, même si c'est de façon moins fantasque que dans le premier chapitre, ce qui est aussi un peu dommage : j'espère que ce gimnik sera réutilisé dans les volumes suivants - 3 sont sortis au Japon à ce jour.
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shun
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Message Posté le : 07/05/23 13:52    Sujet du message: Répondre en citant

Alpi the soul send tome 1 et 2 le bestiaire est magnifique ainsi que la base de l'histoire, malheureusement on ressent trop le côté amateur et ça se ressent dans la mise en page, narration, humour mal placé. Le potentiel est là mais faudra attendre la prochaine œuvre.
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